Et mardi. Oui. J'ai compris.

[25/11/2007]

A croire que je l'ai senti. C'est ça le sentiment maternel. Peut-être. Un accident de parcours, sur ma route semée d'embuche. Le plus grand obstacle à franchir. Mais il sera plus facile celui là, car ils sont là. A mes cotés. Me sentir épauler. Putain que ça fait du bien. Mais sans eux avec ce truc dans mes entrailles. Je ne serais plus présente au nom résonnant qui est le mien. Je serai bien loin. Sombres idées. Versées sur l'épaule d'une amie. Elle est là. J'en prends conscience. Enfin. Il est là aussi. Aussi culpabilisé que moi. On se ressent. On se sent. Je me sens. Enfin je crois. J'espère juste que de perdre cette petite chose. Cette vie en moi. Ne m'enlèvera pas tout. Car cela a beau me faire souffrir, depuis que je l'ai je me sens comme vivante. En espèrant que me l'arracher ne me fera pas succomber. Mais tout ça, on verra.

[Edit.]

Putain. Ca reste accroché à vous. Ca vous suit. J'ai bien fait d'espérer. Quand on vous prend l'infini. Morte à l'intérieur. J'ai plus envie de Toi. Plus envie de faire d'erreurs. Envie de partir. D'effacer cette passade.

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[Eboulis]

Voilà.